Malawi : L’eau, la vie

Si je posais la devinette : quelle est cette étendue d’eau à droite de ma route ?

If I asked the riddle: what is this body of water right out of my way?

En précisant que je me trouve en Afrique et remonte vers le nord, en parcourant les routes sinueuses de la baie bordée de magnifiques plages et traversant une succession de villages de pêcheurs.

Tout le monde répondrait : l’Océan Indien…

Et pourtant, ce gigantesque aquarium peuplé de la plus grande variété au monde de poissons exotiques s’appelle le Lac Malawi.

Atteignant  parfois une largeur de plus de 150 kms, cette incroyable réserve d’eau douce, (source de vie si précieuse en Afrique, cherchée des heures entières par les femmes dans les zones arides), est le cinquième plus grand lac au monde.

J’ai donc quitté le Mozambique après tout juste trente jours à sillonner le pays.

Stating that I am in Africa and going north, traveling the winding roads of the bay with beautiful beaches and through a series of fishing villages.

Everywhere comes to: the Indian Ocean …

Yet this huge populous greater variety in the world of exotic fish is calledLake Malawi.

Sometimes reaching a width of over 150 km, this incredible reserve of fresh water (source of precious life in Africa, searched for hours by women in arid areas), is the fifth largest lake in the world.

So I left Mozambiqueafter just thirty days criss-crossing the country.

Passage frontière : un velours !

Le Malawi, et surtout les abords de ce lac aux allures maritimes, attire les touristes. Du coup les lodges et gîtes backpackers affluent un peu partout.

Après la frontière, je me dirigerai vers Monkey Bay pour y trouver un petit camping tenu par un Sud Af.

A mon arrivée, après une journée à rouler en ne me nourrissant que de bananes, j’avais une faim de loup. Par prudence j’ai donc confié mon blouson au patron derrière le bar, pour aller manger un morceau sur la plage à 4 mètres de là.

Une heure plus tard, l’estomac rempli, je constaterai que mon blouson, lui, a été dévalisé ! Portefeuille, carte bleue, cache, disparus !

Décidemment, après avoir traversé toute l’Afrique de l’Ouest sans aucun encombre, je cumule les soucis dans les zones touristiques qui attirent par la même occasion quelques crapules.

Me voilà donc coincé quelques jours ici, en attendant que la très efficace assurance Master card, me renvoie via UPS une nouvelle carte.

Je quitterai de suite Monkey Bay pour aller à Cape Mc Lear, un plus petit village de pêcheurs, lui aussi très touristique.

Quitte à ne pas pouvoir bouger pendant deux semaines, il y a pire pour coincer la bulle.

Border crossing: smooth

Malawi, and especially the area around the lake to the sea looks like a magnet for tourists. Lodges and cottages backpackers flock everywhere.

After crossing the border, I will directly to Monkey Bay to find a small camp run by a South African.

When I arrived after a day just eating bananas, I was starving. Went to the bar 4 metres away from the beach and had a bite to eat! I left my jacket with the boss of the place.

An hour later, a full stomach, I will find my jacket, it was robbed! Wallet, credit card, cash, missing!

Definitely, having gone through the West Africawithout a hitch, I accumulate concerns in tourist areas that attract the same time some thugs.

So here I am stuck here a few days, until the very effective insurance Master card via UPS sends me a new card.

I leave Monkey Bay to go to Cape Mc Lear, a small fishing village, also very touristy.

Even if they cannot move for two weeks, it gets worse for the bubble trap.

Une plage de sable blanc, des villageois sympas, même si au début un peu agaçants pour certains à vouloir à tout prix vendre des souvenirs artisanaux en tous genres. Au bout de quelques jours, je faisais partie des meubles et pouvais arpenter les ruelles à toute heure en échangeant avec les enfants grands sourires et bonjours en langue locale.

Au Malawi, il y a 27 dialectes différents et la dominante est le Chichewa.  Mais l’Anglais étant la langue officielle, bonjour se dit simplement : Hello ! Fastoche…

A white sand beach, friendly villagers, although initially a bit annoying for some people to sell at any price handcrafted souvenirs of all kinds. After a few days, I was part of the furniture and could walk the streets at any time by sharing with children big smiles and hellos in the local language.

In Malawi, there are 27 different dialects and is the dominant Chichewa. But English is the official language, hello simply says: Hello!

Boire du thé et manger dans les tea room et restos locaux, faire mes courses au marché (tomates, poisson, œufs et surtout du beurre de cacahouète maison) pour assurer les repas popote au camping. Longues heures à étudier le balancement du hamac, baignades et petits dèj. sur la plage avec « Pane Cake Man ».

Drinking tea and eating in local restaurants and tea room, do my shopping at the market (tomatoes, fish, eggs and especially homemade peanut butter) for the mess meals at the campsite. Long hours studying the swing of the hammock, swimming and breakfast on the beach with « PanCakeMan. »

 

Le numéro de suivi UPS me permettait d’avoir un œil sur l’avancement du voyage de ma nouvelle carte.

Du nord de la France à Paris, puis Lyon, puis l’Allemagne pour arriver à Johannesburg et enfin Lilongwe, la capitale malawienne, le transport n’aura duré que trois jours. Après plus de nouvelles pendant 12 jours !

Jusqu’au coup de téléphone d’un gars de chez UPS à Lilongwe qui me demande si j’ai bien reçu mon courrier.

« Mon courrier ? Vous devez bien savoir que chez UPS c’est très sérieux : un mot de passe m’a été donné par téléphone après divers questionnements permettant de s’assurer de mon identité. Et moi seul peut réceptionner mon enveloppe ! »

« Oui oui mais votre courrier à été déposé quelque part à Monkey Bay : pouvez-vous me rappeler dans 30 minutes le temps que je vérifie sur ordinateur parce que moi j’ai plus de forfait téléphone… »

Le gars d’UPS Lilongwe n’a plus de forfait ??

Bon je rappelle le type mais ne comprends pas grand chose à son anglais : je dois me rendre à Time’s Curia, une agence de transport, à Monkey Bay le lendemain.

Après trois heures à chercher sans succès cette fameuse agence, je rappelle le gars qui recherche encore et me dit : « Ah non ce n’est pas à Monkey Bay, c’est à Mangochi » (à 70 kms de là).

Il me donne le numéro du type de là-bas et après encore deux heures à jongler entre les différentes personnes, c’est sûr : ils ont mon enveloppe.

A l’agence, petit bureau de 3 m² dans le dépôt de bus, personne !

Je rappelle le contact donné par le deuxième gars, qui après avoir appelé le troisième a eu les coordonnées de l’autre gars qui connait bien le bon gars, mais ce dernier n’a pas le temps de venir alors il me demande de passer mon téléphone au voisin de son cagibi. Celui-ci est gérant d’un bistrot de 3m² lui aussi. Et, merveille, il a les clefs du cagibi de l’agence de transport !

Il ouvre donc la porte, m’interdit d’entrer et ressort avec une enveloppe à l’attention de l’hôpital de Monkey Bay en refermant à clef derrière lui.

Après encore une heure à lui expliquer que ce n’est pas pour moi, il fini, excédé, par ré-ouvrir la porte, prendre une caisse en carton contenant les courriers UPS et la jeter sur la chaussée poussiéreuse devant son bar. Je fouille, trouve mon enveloppe et, pris d’un fou rire, me dirige vers la moto en jouant des coudes dans la foule de curieux agglutinée autour d’elle. Mais le gars (du bistrot) me rattrape : je crois qu’il veut me faire signer un papier mais non. En fait il me demande de prendre toutes les enveloppes à destination de Monkey Bay parce que le gars qui n’a pas le temps de rester dans son bureau n’a plus d’essence et doit y aller depuis une semaine pour livrer les courriers urgents !

Je refuse et me casse en douce !

UPS en Afrique, c’est po encore ça…

Bref, une journée à courir dans tous les sens, et vous ne savez pas quoi ? J’suis resté zen !

Malgré ce manque de sérieux, l’Afrique reste fichtrement drôle. Quand on a du temps !

Je continue donc ma route vers le Noooord !

The UPS tracking number allowed me to keep an eye on the progress of the journey of my new card.

Northern France in Paris and Lyon, then to Germany and finally arrive at Johannesburg Lilongwe, Malawi’s capital, transportation
lasted only three days. After more than 12 days!

And then a phone call from a guy at UPS in Lilongweasking me if I received my mail.

« My mail? You must know that at UPS it’s very serious: a password was given to me by phone after several questions to ensure my identity. And I can only receive my envelope! « 

« Yes, yes, but your mail was deposited somewhere in Monkey  Bay: Can you remind me in 30 minutes while I check on my computer because I have more phone package… »

The UPS guy Lilongwe has no plan?

Well I remember the type but do not understand much about the English, I have to go to Time’s Curia, a transportation agency, Monkey Bay the next day.

After three hours searching unsuccessfully for this famous agency, I remember the guy who still searched and said, « Oh no it is not in Monkey  Bay, Mangochi it is » (70 km away).

He gives me the type number there and after another two hours to juggle different people, that’s for sure: they have my envelope.

At the office, small office of 3 square metersin the bus depot, nobody!

I remember the contact given by the second guy, who after calling the third had the coordinates of the other guy who knows the good guy, but he has no time to come then he asked me to spend my phone close to his closet. This is the manager of a bar 3m ² too. And, wonder, he has the keys to the closet of the transport agency!

So he opens the door, I was forbidden to enter and spring with an envelope to the attention of the hospital in Monkey Bay, closing with a key behind.

After another hour to explain that it is not for me, it ended up, exasperated, by re-opening the door, take a cardboard box containing the UPS mail and throw it on the dusty road in front of his bar. I searched, found my jacket and in laughter, leads me to the bike in the jostling crowd of onlookers caked around it. But the guy (the bistro) catches me, I think he wants me to sign a paper but no. In fact he asked me to take all the envelopes to Monkey Bay because the guy who does not have time to stay in his office is out of gas and must go there for a week to deliver urgent mail !

I refuse and break in sweat!

UPS in Africa, yet it is in…

In short, a day to run in all directions, and you do not know what? I’m left relaxed and in zen!

Despite this lack of seriousness,Africa is still damn funny. When you have time!

So I continue my road to the Noooorth!

A Cape Mc Lear, j’avais rencontré un couple de belges qui voyagent avec le fameux guide «Lonely Planet». Ils m’avaient parlé de la petite ville de Nkhotakota où se trouve le plus vieux marché d’Afrique, mais qui n’attire pas beaucoup de monde.

Un endroit pas très touristique ! J’y vais.

A Cape Mc Lear, I met a Belgian couple who travel with the famous guide « Lonely Planet ». They told me about the small town of Nkhotakota where the oldest African market, but that does not attract many people.

A place not very touristy! I’m going!

 

Je resterai trois jours dans un petit gîte local. Simple, juste deux chambres, mais ils m’autorisent à planter la tente pour une poignée de Kwachas.

Pas de chichi, pas de clôture, juste un petit espace avec vue sur la plage à 300m, où les villageois attendent les pêcheurs.

I will stay three days in a small local shelter. Simple, just two rooms, but they allow me to pitch the tent for a few Kwacha.

No fuss, no fence, just a small area overlooking the beach 300m, where villagers await fishermen.

Je passerai pas mal de temps à discuter avec Phillimon qui travaille ici.

Ce jeune garçon de vingt cinq ans est vraiment incroyable !

Après avoir été embauché par le patron du gîte pour assurer l’accueil des voyageurs, il s’est vite rendu compte que ça n’allait ni l’occuper à plein temps, ni le nourrir : pas grand monde s’arrête ici à vrai dire et le salaire est vraiment misérable.

Du coup il a cherché un autre revenu pour subvenir aux besoins de sa famille, tout en restant sur place. Ayant quelques notions d’agriculture et de l’eau à volonté, il a cherché ce qu’il pourrait bien faire pousser dans les parages.

Entre la plage et le gîte, il y a une bande de 150 mètres de dune. Mais ce n’est pas vraiment le meilleur sol, même si plus on s’approche du gîte plus le sable devient légèrement rouge de latérite. Toutefois, une idée de génie a germé !

Essayer d’y faire pousser du riz !

Cela implique d’accomplir un incroyable défi : décaper le sol jusqu’à un niveau légèrement inférieur au niveau du lac (soit sur une profondeur de 60 cm à 1 mètre) de façon à ce que le terrain soit continuellement inondé.

Phillimon a d’abord négocié avec le chef du village l’achat d’une petite parcelle d’environ 200 m de long. Puis il est allé voir un vendeur de matériaux de construction et a négocié la vente du sable. Il fallait encore amener celui-ci sur la route goudronnée, éloignée de 600 mètres.

Pour ce genre de travail épuisant, ce sont les femmes en Afrique qui sont généralement volontaires.

C’est vrai que je vois régulièrement des hommes jouer au bao, jeu traditionnel africain appelé awele en Afrique de l’Ouest, déplaçant les billes dans les cases de bois, buvant un soda ou un thé, tandis que les femmes sont à la tâche…

Une besogne colossale ! Telle une petite fourmilière, une quinzaine de femmes creusent le sable et l’emmènent dans de grands bacs posés sur la tête ! Chaque bac de sable atteint facilement les 25 kg ! Et ce 7 jours sur 7, de 6 heures du matin à 18 heures.  Et le tout en rigolant et en chantant à tue-tête !

J’ai essayé de poser un bac sur ma tête ! J’peux vous dire que ce qu’elles réalisent est carrément hallucinant !

I spend a lot of time talking with Phillimon who works here.

This young man aged  twenty five years is truly amazing!

After being hired by the boss of the house for welcoming travellers, he quickly realized it was not going to occupy or be full-time, or to feed him: hardly anyone stops by true say and the pay is really miserable.

So he sought another income to support his family while staying there. Having some knowledge of agriculture and water at will, he sought what he could to push around.

Between the beach and the cottage, there is a strip of 150 meters of dune. But this is not really the best soil, although the closer the lodging more sand becomes slightly red laterite. However, a brilliant idea germinated!

Try to grow rice!

This implies to accomplish an incredible challenge: stripping the soil to a level slightly below the level of the lake (or a depth of 60 cm to 1 meter) so that the ground is continually flooded.

Phillimon initially negotiated with the village chief to buy a small plot of about 200 m long. Then he went to a seller of construction materials and negotiated the sale of sand. He still had to bring it to the paved road,600 meters away.

For this kind of exhausting work, it is the women inAfrica who are usually volunteers.

It is true that I regularly see men playing bao, traditional African game called mancala in West Africa, moving the ball in the box wood, drinking a soda or tea, while women are working…

A huge task! Such a small ant, fifteen women dig the sand and take it in large bins placed on the head! Each sandbox easily
reaches 25 lbs! , 7 days out of 7, 6 am to 18 hours. And while laughing and singing loudly! I tried to put a pot on my head! I can tell
you what they do is downright amazing!

Phillimon ne prend aucun bénéfice sur la vente du sable :

«ça c’est l’affaire des femmes qui accomplissent le travail le plus difficile. Moi je m’occupe de la culture du riz et des quelques autres végétaux que j’arrive à faire pousser plus près du gîte : un peu de maïs, des tomates et des épinards qu’il faut arroser 2 fois par jours».

A lui seul, il a réussi à créer une petite économie locale et tout le monde s’y retrouve.

«Cela fait bientôt trois ans que j’ai démarré ce projet. On a d’abord fait un essai sur une petite surface et les résultats ont été encourageants. La plupart des garçons du village se contentent de pêcher un peu et dépensent leur maigre recette en alcool ! Moi je refuse d’être pauvre ! Et je ne compte pas attendre que quelqu’un vienne me sortir de la misère !».

Phillimon take no profit on the sale of sand:

« It is the case of women who do the hardest work. I take care of rice and a few other plants that I can grow closer to the house: a little corn, tomatoes and spinach need watering two times a day. «  

By himself,  he has managed to create a small local economy and everyone found there.

« It’s been almost three years since I started this project. First we did a test on a small area and the results were encouraging. Most boys in the village simply to catch a little and spend their meager recipe alcohol! I refuse to be poor! And I do not intend to wait for
someone to come out of my misery. « 

 

L’Afrique de l’Est est vraiment différente de l’Afrique Occidentale. Si les salaires moyens restent globalement identiques (soit généralement entre 50 et 300 USD par mois selon les qualifications), l’affluence de touristes qui dépensent parfois la même somme en une journée crée énormément de frustration chez  la population jeune locale.

Finalement c’est à chaque fois plus dans les zones non touristiques que l’on observe des initiatives complètement personnelles comme celle de Phillimon et que l’on a des échanges plus authentiques avec les habitants.

 

Côté météo, il fait encore très chaud en journée mais les nuits sont de plus en plus froides.

Je suis passé également dans un autre village de pêcheurs, à Nkhata Bay sur le bord du lac, avant de reprendre la route pour Mzuzu et Livingstonia.

The East Africa is very different from Western Africa. If the average wages are essentially identical (ie generally between 50 and 300 USD per month depending on qualifications), the influx of tourists who sometimes spend the same amount in one day creates a lot of frustration among the local young people.

Ultimately it is each time more in non-tourist areas as completely personal initiatives are observed such as Phillimon and that was more authentic interaction with people.

Weather-wise, it is still very hot during the day but the nights are becoming colder.

I also spent another fishing village, Nkhata Bay on the lake before heading back to Mzuzu and Livingstonia.

 Allez : Zigomo ! (Merci en Chichewa)

zigomo! (Thanks in Chichewa)

 

20 réponses à Malawi : L’eau, la vie

  • François dit :

    Hello Luc !

    Heureusement qu’il existe des Phillimon et dieu merci je reste persuadé qu’il y en a plus qu’on ne croit. Et quand tu dis que le tourisme pollue les gens, je suis tout à fa

  • François dit :

    ….oups ! ya eu une mauvaise manip !! Oui tu as raison, finalement on n’a que ce que l’on mérite, et qu’ils profitent du tourisme (bon je suis dac, c pas la meilleure façon !!) ce n’est qu’un juste retour des choses !
    Merci Luc de nous rappeller qu’il faut rester humble et optimiste en lisant l’histoire de Phillimon !! Bon pour le travail des femmes je ne ferai pas de commentaires !!!! ;)
    François

  • evrard dit :

    Bonjour LUC quel beau reportage ,superbes photos
    ZIGOMO (BERNARD)

  • renard dit :

    Salut à toi, Luc.
    Comme toujours, je suis en Afrique le temps de te lire puis …Mais cela reste quand même.
    Un gars comme Phillémon , travaillant bien et pas seulement pour lui, pourrait être aidé. Si tu avais pu laisser le moyen de le contacter, j’aurai donné une suite . Sur ton prochain message ?
    Prends soin de toi, Luc. Ton regard sur l’Afrique et ses habitants est à la bonne hauteur et juste. De là, tes photos pleine de cette vie . Merci encore .

  • Zaza de Tlse dit :

    Un petit coucou,

    Je suis toujours aussi fan de tes photos et de ton aventure.
    L’histoire de Phillémon est remplie d’espoir.
    Je suis du même avis que Renard, et partante pour le soutenir.A suivre
    En attendant, prends soin de toi.
    Bises
    Zaza

  • Éliane Vallée dit :

    Je lis toujours tes aventures ! Quel bonté ce jeune Philimon ! Wow, c’est grâce à des gens comme eux que je retrouve foie en l’humanité ! :) Bon voyage Luc et tiens nous au courant ! :D

    La p’tite Québécoise

  • Christophe dit :

    Coucou Luc
    Quelle leçon de courage de la part de Phillémon et de ces femmes.
    Les photos sont magnifiques, grace à toi je reprends gout à la géographie
    A plus

  • anne dit :

    MAGNIFIQUE Comme d’hab….. bravo à ces femmes courages qui portent effectivement les bassines sur leur tête en plus des enfants dans leurs dos…..

  • d'Artagnan dit :

    hello Luc
    Même si UPS en Afrique n’est pas encore au point …. tu as réussi à récupérer ce qu’il te fallait pour continuer ton périple et c’est ca qui compte.
    Tu vois que tu sais rester ZENNNNNN
    continue a vivre pleinement ce voyage … et fais nous en profiter
    bizzzzzzz
    d’Artagnan

  • Mika dit :

    J’ai bien aime ton sketch avec UPS, un sketch à la Fernand Raynaud et son 22 à Asnières.

  • jean noel dit :

    tjr tres coll de lire des aventures coucou a tw et bonne route

  • boulogne bruno (pepone) dit :

    bonjour mon grand toujours de tres belles photos et toujours autant de passion et de courage bisous continus

  • maryse et michel dauvergne dit :

    genial comme toujours!!! c’est vrais que UPS ce n’est pas top mais j’ai bien rigolée. bravo à Phillémon et au courage de ces femmes de là bas. bonne route à toi !!!Michel & Maryse

  • laulo dit :

    en fait çà y est j’ai compris, toutes les trucs et les bazars rocambolesques qui t’arrivent, c’est juste toi qui paie des mecs, des reptiles ou autre bestioles et autres bidules qui pourraient crever tes pneus juste pour po rentrer dans le grand Nord c’est çà?

    Sinon j’adore tes photos elles sont magnifiques j’adore le chat qui regarde si mathématiquement il pourrait rentrer dans le poisson … et deux photos au dessus (çà va? tu suis?) la photo de la bestiole d’alien (sisi allons celle qui pond des schouipz dans les gens et puis pouf un alien sort du ventre) séchée façon morue.

    et puis po la peine d’aller si loin pour voir que les bonnes femmes sont plus bosseuses que les hommes et qu’elles font/supportent énormément (euh non je me passerais de la volée de bois vert , merci :D ) même si il est vrai que les femmes africaines méritent vraiment notre respect.
    D’ailleurs Philimon aussi !

    sinon la prochaine fois au lieu d’UPS on peut essayer t’envoyer vaillant l’pigeon voyageur il ira peut^-être plus vite non???

    Allez la bise nordique et à bientôt !

  • CATHY dit :

    Hello Luc,
    Chapeau le remplacement de la carte !!! Toujours un émerveillement de voir tes photos…
    Merci de nous apporter du soleil et de la chaleur au travers de tes récits.
    Bizzz

  • alfaric dit :

    salut Luc! décidement il t’en arrive des péripéties dans ton voyage : je t’admire de rester aussi zen là où des milliers d’autres auraient paniqué, alerté l’ambassade etc….
    je constate que toi aussi tu apprécies le Malawi ; nous sommes également tombées sous le charme en n’y séjournant pourtant que qq jours.
    je te souhaite une bonne continuation de voyage
    à bientôt pour de nouvelles aventures
    biz de sylviane et brigitte de la réunion

  • STEF DEVISSCH dit :

    Bin La WI je dis bravo. quel anecdote le coup de la carte. tu es finalement toujours aussi zen.
    On a des leçons à prendre, nous les stressés européens du quotidien.
    Allez biz et porte toi bien.
    Stef et karine

  • David des Ardennes... dit :

    Salut Luc,je vois que tu t’es mis au THE ??? Eh ben moi je déguste une bière du démon en te lisant!! Bonne route vers le ch’nord…

  • Zak de dunkerque dit :

    Quel tempèrament !!! Bon courage pourbla suite!!!
    Je pense qu’il fait bie meilleur qu’à Dunk là où tu es ….
    Amicalement ,

  • Sue dit :

    Lovely photos and stories, Luc. Thank you for sharing this with us.

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