Burundi : un accueil Tambourinaire !
Le 13 Janvier, je quitte mon bush camp en direction de la frontière Burundaise.
On 13 January, I quit my bush camp towards the Burundian border.
La veille au soir, je m’étais rendu compte sur le GPS que j’avais loupé une bifurcation en direction du Burundi, quelques kilomètres avant de m’arrêter : bizarre j’ai pourtant vu aucune autre route. Je retourne donc sur mes pas mais ne trouve pas cette piste. En fait je mettrai encore 2 heures à tourner en rond pour me rendre compte que la carte micro SD « Trak for Africa » de mon GPS a un faux contact et qu’elle n’est plus active. Il me semblait bien que depuis quelques semaines mes traces ne correspondaient pas vraiment à mon fond de carte …
Passage frontière : impeccable ! En moins d’une heure me voilà de nouveau en terrain francophone (du moins pour quelques uns des habitants car ici la langue est le Kirundi, mais la plupart parlent aussi le swahili et le français version belge : je dirai plus de septante pour cent dans la capitale).
Ici on roule à droite, mais je m’adapterai plus rapidement au changement qu’à la sortie du port de Daar Es Salam où après mes 4 mois et demi à Mada je m’étais retrouvé face à un camion faisant des appels de phare …
Ce pays qui lui aussi a été comparé à la suisse Africaine est très montagneux surtout dans le centre ou quand on arrive par l’Est. Il est aussi très humide en cette saison des pluies : les orages d’altitude y sont brefs mais terribles !
Les habitants sont extrêmement heureux et curieux de voir un étranger à moto. J’entends des «Un touriste ! Un touriste !».
La guerre civile qui ne s’est achevée que depuis 10 ans a longtemps fermé les portes du pays au tourisme, et les seuls étrangers à le parcourir ont surtout été des membres d’organisations internationales.
The night before, I had realized the GPS that I missed a junction in the direction of Burundi , a few kilometres before stopping,it was weird yet I saw no other way. I retraced my steps but cannot find this track. In fact I still put two hours to turn around to realize that the micro SD » Trak for Africa » card from my GPS has a poor contact and is no longer active. It seemed to me that the last few weeks my tracks do not really fit into my base map …
Crossing border : impeccable! In less than an hour here I am again speaking land (at least for some of the people here because the language is Kirundi , but most also speak Swahili, Belgian and French Version : I would say more than seventy per cent the capital).
Here we drive on the right, but I will adapt to change more quickly than the output port Daar es Salaam where after my 4 and a half months Mada I found myself faced with a truck making calls … lighthouse.
This country also has been compared to the Swiss African as it is very mountainous , especially in the centre or when you arrive from the east . It is also very humid in the rainy season storms altitude are brief but terrible!
The people are extremely happy and curious to see a foreign motorcycle. I hear « A tourist! A tourist!
Civil war that ended 10 years long since closed the country’s doors to tourism, and the only foreigners to travel were mostly members of international organizations.
Je ne tarde pas à arriver à Muyinga. Alors que je change mes derniers billets de Tchiling Tanzanien en Francs Burundais je rencontre Innocent. Un sourire jusqu’aux oreilles, il veut que nous échangions nos contacts. Je suis content de parler français et nous bavarderons quelques instants. Il m’aidera à trouver une puce téléphone locale et nous irons partager un repas de brochettes. Dans le petit resto local, sortant d’un vieux poste grésillant, Jacques Brel chante «le plat Pays». Je demande à Innocent la route vers Ruygi car je voudrais aller à «La maison Shalom».
C’est mon ami Didier que je salue au passage qui m’avait parlé de cet endroit et d’une certaine Maggy, qu’il avait eu la chance de rencontrer en France.
I was soon to arrive in Muyinga . While I change my last tickets Tchiling Tanzanian Burundi Francs In I meet innocent. A smile from ear to ear, he wants us to exchange contacts . I am happy to speak French and we chat for a few moments. Help me to find a local smart phone and we will share a meal of kebabs . In the small local restaurant , leaving an old job sizzling , Jacques Brel sings » flat country » . I ask Innocent road to Ruyigi because I would go to « The house Shalom . »
This is my friend Didier I welcome the passage told me about this place and some Maggy , he had the chance to meet in France .
La maison Shalom est une ONG Burundaise qui doit son existence à l’énergie de Marguerite Barankitse et de ses proches, qui l’ont créée lorsque la guerre faisait rage dans la région.
Suite au massacre de 72 personnes sous ses yeux, «Maggy» recueillera une vingtaine d’enfants laissés sans parents, les protégeant au risque de sa propre vie. En 1994, le diocèse de Ruyigi lui cède une vieille école en ruine, elle les y installera en créant «la maison de la Paix».
Shalom House is a Burundian NGO which owes its existence to the energy of Marguerite Barankitse and his family , who created when the war was raging in the region.
Following the massacre of 72 people in his eyes , » Maggy » gathered twenty children left without parents , protecting them at the risk of his own life. In 1994 , the Diocese of Ruyigi gives him an old school in ruins, which he will install by creating the « house of Peace » .
Depuis, avec l’aide d’associations internationales, cette ONG à pris une ampleur colossale : construction de maisons, de villages et d’écoles où les familles recomposées vivent en paix et où chacun trouve sa place dans un univers de tolérance et de partage, toutes ethnies et toutes histoires confondues.
La création de commerces et le développement agricole permettent à chacun de subsister et de se reconstruire une vie.
Depuis sa création, les actions de la « maison Shalom » concernent plus de 20.000 enfants !
Un immense hôpital a également été construit, comportant un enseignement médical.
Maggy ayant un emploi du temps très chargé, entre ses réunions et conférences à l’étranger, je n’aurai pas la chance de la rencontrer, mais serai formidablement accueilli par l’équipe administrative. J’aurai en revanche l’occasion de rencontrer des volontaires canadiens, belges et allemands venus donner quelques semaines de leur temps dans cet endroit chaleureux qui a vu le jour grâce à cette humaniste au grand cœur.
Since then, with the help of international organizations , the NGOs made a colossal scale : construction of houses , villages and schools where stepfamilies live in peace and where everyone finds his place in a world of tolerance and sharing all ethnic groups and all stories combined.
The creation of businesses and agricultural development allow everyone to survive and rebuild their lives .
Since its inception, the actions of the « house Shalom » concern more than 20,000 children !
A huge hospital was also built , with a medical education.
Maggy having a busy schedule , between meetings and conferences abroad , I will not have the chance to meet , but will be tremendously welcomed by the administrative team . I will however get to meet a canadian , Belgian and German volunteers came to give a few weeks of their time in this cosy place that has emerged through this humanistic big heart.
A lire (Read) : «La Haine n’aura pas le dernier mot» (Albin Michel)
Site Maison Shalom : www.maisonshalom.net
Depuis mon départ de Daar le 25 Décembre, je n’avais dormi que sous tente et mes trois nuits sur un matelas dans une des chambres de la « maison shalom » me remettront en pleine forme pour reprendre la route en direction du Sud.
Since my departure from Daar December 25 , I had slept in my tent and three nights on a mattress in one of the rooms of the « house shalom » hand over me in great shape to hit the road heading south .
J’ai de la chance. En cette journée du 16 Janvier, le temps est plus clément que ces dernières 48 heures. Sur une magnifique piste de latérite rouge je croiserai des pousseurs de vélo, ce qui me rappellera ma traversée du Congo il y a déjà plus d’un an. Puis j’arrive sur une superbe voie goudronnée. Avant de redescendre sur «Nianza Lac», la ville la plus au Sud du Lac Tanganyika, je ferai un détour pour aller voir la source la plus méridionale du Nil.
I’m lucky . In this day of January 16th , the weather is warmer than the past 48 hours . On a beautiful red-dirt track I encounter pushers bicycle, which remind me of my crossing the Congo there already more than a year . Can I get a beautiful tarmac road . Before returning to » Nianza Lake » , the largest city south of Lake Tanganyika , I will make a detour to see the southernmost source of the Nile.
En effet, après plus de trois années de recherches et après qu’un grand nombre d’aventuriers aient déclaré forfait, c’est finalement l’allemand Burkhart Waldecker qui a résolu l’énigme de la naissance du plus long fleuve d’Afrique, découvrant cette source à la fin des années 30.
En hommage à celui-ci, une petite pyramide a été construite en référence aux mythiques constructions égyptiennes. Dans celle-ci se trouve une ouverture indiquant… LE NOOOOORDD !
Indeed, after more than three years of research and after many adventurers have forfeited , it is ultimately the German Burkhart Waldecker has solved the riddle of the birth of the longest river inAfrica, discovering this source in the late 30s.
Tribute to it, a small pyramid was built in reference to the mythical Egyptian constructions . In it there is an opening indicating … “the NOOORTH !”
Bien que le ciel commence à nouveau à se couvrir, les paysages de montagne sont grandioses. Ici les sommets avoisinent les 2500 m et la verdure liée à l’humidité fréquente en ces altitudes est épaisse.
Although the sky begins again to cover the mountain scenery is spectacular . Here the peaks are around 2500 m and greenery tied moisture common in these altitudes is thick.
Je continue sur Nyanza Lac. A peine après avoir entamé ma remontée en suivant les rivages du lac, je m’arrête dans une petite auberge pour manger mon premier Mukéké (le poisson visiblement le plus pêché ici).
Dans l’établissement, il y a de la musique : un guitariste, un orgue électrique, et une trentaine d’individus en chemises roses. Il y a aussi un caméraman, des micros…
Tout le monde vient me saluer : «On aime les étrangers ici ! Merci de nous visiter !»
En fait ce sont des choristes et ils sont en train de tourner un clip de Gospel en Swahili.
I continue to Nyanza Lake. Just after starting my ascent along the shores of the lake , I stopped at a small inn to eat my first Mukéké ( most visibly fish caught here).
In the institution, there is music : a guitarist, electric organ, and thirty individuals in pink shirts . There is also a camera , microphones …
Everyone greets me: « We like foreigners here! Thank you for visiting us! «
In fact they are singers and they are shooting a clip Gospel Swahili .
Après quelques instants, Kakajoe, le caméraman m’appelle : il a besoin de mon intervention… ??
Sur le coup j’me suis dit qu’il voulait un coup de mains pour faire le réglage des blancs mais non : il veut que je me joigne aux chanteurs… danseurs !
«J’parle pas swahili ! Et côté danse, là tout de suite, j’me sens pas à défier les lois de la gravitation !» je lui réponds ! Mais rien à faire, il insiste.
Me voilà donc invité à venir danser avec eux en essayant de baragouiner : Kakajoe, m’a promis un exemplaire une fois le clip monté !
Après avoir mangé, le ciel devenant vraiment menaçant, je décide de continuer d’une traite vers la capitale.
A Bujumbura, j’ai un contact. A Anjouan aux Comores, j’avais rencontré Hélène, une congolaise travaillant dans une ONG. Celle-ci m’avait proposé des contacts au Congo, mais lui ayant expliqué mon itinéraire et précisé que j’y étais déjà passé lors de ma descente, elle m’avait dit qu’elle m’enverrait un contact par mail au Burundi.
Jean Pierre Aimé est journaliste reporter d’images depuis 1998. Il travaille en partenariat avec Reuters. Il a commencé en pleine crise comme reporter de guerre.
After a few moments , Kakajoe the cameraman called me he needs my speech … ?
At the time I told myself that he wanted a hand to adjust white but no, he wants me to join the singers … dancers!
» I do not Swahili ! And side dance, there immediately , I sense not to defy the laws of gravity ! » I replied ! But nothing to do, he insists.
So there I was invited to dance with them trying to jabber : Kakajoe promised me a copy once the clip mounted !
After eating , the sky became really threatening , I decided to continue trafficked to the capital.
In Bujumbura, I have a contact. Anjouan in the Comoros, I met Helen, a Congolese working in an NGO. This offered me contacts in Congo , but he had explained my route and said that I had already spent on my descent , she told me she would send me a contact by mail to Burundi .
Jean Pierre Aimé is a reporter, images since 1998. It works in partnership with Reuters. It started in full crisis as a war reporter .
Il m’accueillera chez l’un de ses amis : Marcel, qui a ouvert un resto dans un quartier vraiment calme de la ville, où il vit avec son cousin Bellarmin. Nous y passerons une première soirée très sympa, à discuter autour d’une bière.
He welcomes me with one of his friends Marcel , who opened a restaurant in a very quiet area of the city, where he lives with his cousin Bellarmine . We will spend the first very nice evening chatting over a beer.
Au départ, je comptais ne rester à la capitale qu’un jour ou deux mais la bonne ambiance, les soirées dans les bars du secteur, la rencontre de leurs amis dont Roméo, guitariste dans un groupe local (Lion Story), et Omer, président d’une association de tambourinaires, qui m’invite à venir voir son groupe le mardi suivant à l’école française…
Initially, I intended to remain in the capital a day or two but the atmosphere, the evenings in the bars of the area, meet their friends with Romeo, guitarist in a local band (Lion Story ) , and Omer president of an association of drummers , who invited me to see his band the following Tuesday at the French school …
Bref, il fait bon vivre ici et mes nouveaux amis sont vraiment d’une bonne compagnie : je resterai donc cinq jours et y passerai des moments inoubliables de bonne humeur ! Merci à vous !
In short, life is good here and my new friends are really a good company , I remain so for five days and will spend unforgettable moments of good humor ! Thank you to you!
Le Burundi, c’est ça ! Avant tout une population accueillante, des sourires de bienvenue et une envie incroyable de partager et de rencontrer.
Il faut dire que depuis l’indépendance en 1962, ce pays n’a connu que des conflits, des prises de pouvoir militaires, des coups d’état, jusqu’en 1993 : le premier président élu par scrutin, Melchior Ndadave, entame des réformes et un énorme chambardement dans la fonction publique au cours duquel il a tendance à promouvoir les Hutus et à congédier les Tutsis dans un pays déjà confronté à de nombreuses querelles ethniques.
Lorsque Ndadave annoncera son intention de réformer aussi le recrutement de l’armée, il sera assassiné par des militaires qui tenteront un coup d’état. Celui-ci échouera mais déclenchera aussi plus d’une décennie de guerre civile et de crise politique faisant des dizaines de milliers de victimes.
En ce presque lendemain de crise, suite aux accords de paix de 2003 et à l’élection en 2005 du président actuel, Pierre Nkurunziza, meurtris par ces conflits et malgré la pauvreté qui touche la grande majorité, les burundais affichent un optimisme et un courage exemplaires.
Aujourd’hui les attentes concernent surtout les problèmes de corruption et de justice interne, et les légères tensions qui perdurent sont liées au partage des propriétés foncières.
Bujumbura que tout le monde appelle «Buja» est la capitale africaine la plus paisible que j’aurai vue depuis mon départ. Bien sûr au cœur de la ville il y a aussi quelques cohues aux stations de bus et taxi, bien heureusement, mais dès que l’on s’éloigne du centre urbain, les rues sont calmes, aucun embouteillage ! Des voies propres et goudronnées partout, des avenues où l’on ne croise que quelques habitants se baladant calmement devant les grandes habitations arborées.
Je dirai au revoir à mes hôtes le mercredi 22, direction le centre. Le petit village de Teza vit essentiellement du thé. J’y rencontrerai Deus, le guide local avec qui je ferai une superbe balade dans les plantations.
Burundi, that’s it! Above all hospitable people , smiles of welcome and an incredible desire to share and meet .
I must say that since independence in 1962, this country has known conflicts, taken military power, cuts , until 1993 , the first president elected by ballot, Melchior Ndadave , initiates reforms and a huge upheaval in the public service in which it tends to promote the Hutus and dismiss the Tutsis in a country already facing many ethnic strife .
When Ndadave announce its intention to also reform the recruitment of the army, he was assassinated by soldiers attempt a coup. It will fail but will also trigger more than a decade of civil war and political crisis by tens of thousands of victims.
In almost post-crisis , following the peace agreements of 2003 and the election in 2005 of the current president , Pierre Nkurunziza, ravaged by conflicts and despite the poverty that affects the vast majority of the Burundian displayed optimism and courage copies.
Today expectations mainly concern the problems of corruption and internal justice , and light tensions that remain are related to land sharing .
Bujumbura everyone calls » Buja » is the quietest I have seen it since I left African capital . Of course the heart of the city there are also some mobs to bus and taxi, thankfully , but as soon as one moves away from the urban centre , the streets are quiet, no traffic jams ! Clean and paved paths everywhere , avenues where one does not cross a few people strolling calmly before the great tree houses .
I say goodbye to my hosts on 22 , towards the centere The small village of Teza lives mainly tea. I meet with Deus , local guide with whom I will make a superb walk in the plantations.
A proximité de là se trouve le petit village de Busekera. Y vivent des Batwas. Cette ethnie est la troisième composante après les Hutus et les Tutsis au Burundi. Ils sont très largement minoritaires et ont toujours été marginalisés par le reste de la population. Vivant de façon très simple dans des huttes de paille au cœur de la forêt primaire, se nourrissant grâce à la cueillette et à la chasse, ils sont désormais installés dans de petites communautés en bordure du park national de la Kibira. En effet, les autorités les ont délogés de leur environnement de façon à protéger le milieu naturel de celui-ci.
Aujourd’hui, leur moyen de subsistance est dérisoire en l’absence de terres à cultiver ou d’autorisation d’exploiter les produits forestiers. Cette ethnie que l’ont appelle parfois les «pygmées» en raison de leur petite taille, étant réputée pour la forge et la poterie, des associations se sont mobilisées pour leur venir en aide en créant des villages touristiques. A Busekera c’est Patrice Faye qui est intervenu et a entrepris un énorme travail à leur côté.
Close by is thevillage of Busekera. Where Batwa live . This ethnic group is the third component after the Hutus and Tutsis inBurundi. They are very much in the minority and have always been marginalized by the rest of the population. Living very simply in straw huts in the heart of the rainforest , feeding through gathering and hunting, they are now installed in small communities bordering the national park Kibira . Indeed , the authorities were dislodged from their environment in order to protect the natural environment thereof .
Today, their livelihood is negligible in the absence of land for cultivation or for permission to exploit forest products. This ethnic group that have sometimes called » pygmy » because of their small size, are known for forging and pottery, associations mobilized to assist them in creating tourist villages. A Busekera is Patrice Faye intervened and undertook a huge task on their side .
A Buja, j’avais également rencontré Egide, guide touristique, qui me donnera l’occasion de me joindre à un groupe de touristes pour assister à une représentation de tambourinaires à Gitega.
Les tambours en question, contrairement aux percutions d’Afrique de l’Ouest, sont gigantesques, et ont une forme plus cylindrique. De plus les musiciens utilisent des baguettes et non les mains.
A Buja , I also met Aegis , tour guide, who will give me the opportunity to join a tour group to attend a performance of drummers in Gitega .
Drums in question , unlike the percussion of West Africaare huge and have a cylindrical shape. More musicians use chopsticks and not hands.
La tradition des tambours date de l’époque monarchique du Burundi et symbolisait le pouvoir royal. Ils étaient battus lors de grandes cérémonies.
En plus de leur talent musical, la prouesse chorégraphique est époustouflante !
Merci à toutes les personnes rencontrées dans ce pays où la fréquentation touristique reste trop faible au vu de la qualité de l’accueil !
Merci également à Herman, Chris et les enfants de Buja ainsi qu’à Fiona de Gitega pour la bonne soirée, les contacts à venir, et pour le charmant accueil !
Tradition drums date monarchical era of Burundi and symbolized royal power. They were beaten at major ceremonies.
In addition to their musical talent, the choreographic prowess is stunning !
Thank you to all the people we met in this country where tourist traffic is still too low given the quality of the reception !
Also thank you to Herman, Chris Buja and children as well as Fiona Gitega good evening , contacts coming and for the lovely welcome!
Salut Luc
C’est toujours un plaisir de lire tes aventures.
Super que tu ais pu visiter la Maison Shalom.
Dommage que tu n’ais pas su rencontrer Maggy.
C’est vraiment une « belle personne » qui ne laisse pas indifférent.
Merci encore à toi pour le partage de tous ces moments
Amitiés
Didier, Marie et les jeunes
Hello , je suis un pote à PHLEP il y a quelques années il m’a obligé à acheter une gs adventure après avoir sillonner toute l’Europe nous allons bientôt poser nos motos sur le sol africain juste un symbole car nous allons pas aller bien mais qui sait peut être un jour une virée comme la tienne. Je te suis depuis le début je te souhaite bonne route ici à pitgam il fait un temps de merde @+
Wouahou!!!! encore et toujours! merci de faire partager tous ces moments! bisous
tes récits sont tellement bien décrits que parfois j’ai l’impression d’y être!
take care lucky guy!!
xxx bizbiz
Salut Luc
Comme toujours de superbes photos et les commentaires qui vont avec.
Quel bonheur de suivre tes aventures
Carole
Salut Luc,
Bon, on ne cessera jamais de le répéter: quel parcours!
En tout cas cette virée au Burundi nous aura permis de découvrir un pays « presque » inconnu d’un point de vue touristique (voir le site Burundi-trek très bien fait). Je conserve cette « bonne adresse »…
Merci également pour tous ces détails venant d’un géographe averti comme tu l’es désormais !
Bon séjour au Rwanda
(NB: on sera en Cote d’Ivoire en mars prochain)
salut luc
milles merci pour toutes les photos et commentaires que tu nous laisse on te suit a fond tellement on est dans ton aventure continu comme tu le fait depuis le début bon courage et gros bisous de nous quatre
Des photos magnifiques ! Continue à me faire rêver ! J’suis jaaaaalouse !
La p’tite québécoise xxxxxxxxxx
Je suis fier de voir un occidental qui parle de mon pays dans les termes les plus justes par rapport à la vrai réalité. Tu dois avoir un sens d’observation et d’écoute aigu.
Comment fais-tu pour comprendre la vie de ces pays que tu parcours en si peu de temps?
Tu me donne la soif d’y aller pour retrouver sa beauté et mes potes merci.
Le Burundi petit pays méconnu , pauvre oui, mais dont l’accueil et la détermination de s’en sortir sont inégalables.
Bravo et bonne route pour d’autres bonnes découvertes
Merci Luc Ainsi Le Burundi est toujours aussi acceuillant malgre tous les problemes .J’y ai passe les plus belles annees de ma vie il y a bien longtemps >Bravo de le mettre en valeur il le merite 1
Ton Canon est sans aucun doute toujours bien opérationnel car les photos des danseurs sont superbes. Le photographe y est pour beaucoup aussi ! Bonne continuation
Isabelle et Olivier Vanderbijlpark SA
bonjour Luc.
super …. on lit, on regarde comme d’habitude avec délectation et envies …
bonne continuation sur les chemins de l’Afrique
bizzzzzzzzzz
d’Artagnan
Magnifiques photos de ces hommes qui nous donnent des leçons d’espérer. Le groupe de tambourinaires est superbe et tu as saisis leur grande présence et agilité. Voilà un projet de voyage mieux vanté que n’importe quel dépliant. La photo des enfants autour d’un feu est belle. Merci à toi de nous laisser dans ta trace.
Salut Luc
je prend toujours autant de plaisir a lire tes récits et je les attend presque …. lol
il ne manque que la bande son pour se mettre dans l’ambiance .
bonne route et bonne continuation
emmanuel
Merci Luc de nous permettre de suivre la suite de ton passionnant voyage (depuis notre rencontre autour des savoureux repas préparés par jean Paul ou toi chez Jeannot de l’Antemoro à Manakara) souhaitons à la moto de ne plus faiblir et de t’emmener au bout de l’aventure
veloma
Merci Luc pour 7 bouffé d´oxygène. En tant que burundais, j´ai l´impression d´entendre/lire pour la première fois depuis longtemps, le récit d´un européen ayant vraiment VISITÉ ce pays, puisque là ca se voit, tu y as été, tu leur a parlé, vous avez échanger. Très loin des bazungu des ONG, diplomates et autres qui vivent dans des villa ultra sécurisées, allant voir ces gens en grosses 4#4, le temps d´un bonjour, puis se font passer pour des spécialistes de la région, une fois en europe. Encore une fois, merci, merci et que l´Imana du Burundi t´accompagne dans ton raid!
bonjour luc toujours aussi bien tes commentaires continus bisous
Salut Luc,
La seule question que je veux vous poser est que quand au juste tu va arrivé en France ? Bonne route et que l’esprit de Dieu soit devant vous.
Merci. Tu peux m’écrire dans odahyao@yahoo.fr ou odahyao@gmail.com
Luc, tu deviens photographe… !!
Bonne route
Aurelien, Lea, Meliane
Merci pour cette leçon d’anglais,, la beauté des photos et la qualité du récit.
A bientôt
Hey Luc ! c’est Fiona de Gitega ! ^^
Super ton article, je crois que tu as bien résumé ce que nous vivons au Burundi (enfin ce que je vis en tout cas, c’est vrai que comme dit Charly dans son commentaire, ce n’est pas le cas de tout le monde) en faisant bien référence à la douceur de vivre de ce pays… J’espère vraiment que tu as apprécié ton séjour ici, c’était un plaisir de te rencontrer en tout cas !
Je n’ai qu’à te souhaiter bonne route à nouveau et plein de bonnes surprises dans la suite de tes aventures ! Je continuerai de te lire aussi souvent que possible.
A bientôt !
Salut Luc,
Superbe, votre histoire de Burundi.
J’ai lu que vous avez quand-même rencontré mon ami Deus, un type vraiment aimable.
Quand je lis tous vos avontures au Burundi, bon, je pense que vous avez vu 80% du pays et sa population.
Je suppose que vous êtes bien arrivé au Rwandan et bien trouvé Tim et sa famille et que votre paquet DHL est bien arrivé. Pour Kampala, j’ai recu un mail hier que vous pouvez passer chez Jean-Michel. Les réactions si rapides et compétents, c’est le bon mariage entre un militaire et un magisien
Bonne continuation et beaucoup de succes et de courage dans votre avonture Africaine!
Flor, Katoo, Chris et Herman de Buja
Toujours la belle aventure continue à nous faire réver , nous nous sommes au Maroc comme dab ,bonne route à plus.
Salut, toujours aussi incroyable ton aventure. Quelle plaisir de lire tes récits et de regarder tes superbes photos. Encore bravo et bonne continuation. Hervė
salut Luc
Christine moi même et les enfants on te souhaite une bonne est heureuse année 2014 ,
on voit que tu est toujours sur le continent africain et que tu y voit des choses merveilleuses
la barbe fait baroudeur et nous pensons que tu en est un vrai, en espérant te revoir un jour peut être ? a moins que tu n’ai le virus de l’afrique
aller salut a toi et bonne bourre
philippe