Du Malawi à Dar Es Salaam

Après mon court séjour à Nkhata Bay j’ai donc repris la route, direction Mzuzu. Cette ville est connue pour son miel, que j’ai régulièrement acheté depuis mon arrivée au Malawi, mais aussi pour le thé et le café que l’on y cultive.

After my short stay in NkhataBay, I hit the road in the direction of Mzuzu. This city is known for its honey, I regularly buy honey since my arrival in Malawi, but also for the tea and coffee that is grown.

J’en profiterai en apercevant une pharmacie pour acheter un traitement contre la bilharziose. Le lac Malawi étant réputé pour contenir ce parasite, tout le monde conseille de traiter l’éventuelle contamination lorsqu’on s’y est baigné.

Simple : le nombre de cachets, qu’il faut avaler en une prise entre la quatrième et la sixième semaine suivant la dernière baignade, est déterminé par le poids.

Ici au Malawi, ce traitement est vraiment bon marché : j’en aurai seulement pour deux USD et le traitement zigouille tous les autres parasites que l’on peut avoir chopé. Sachant que le même traitement peut atteindre les 50 USD dans d’autres pays !

Un bon café local, le plein de miel et me voilà sur la route de Livingstonia par une magnifique piste de cailloux longeant la montagne.

A chaque village, des enfants accourent pour échanger quelques éclats de rire et grimaces dans les champs de bananiers, ou pour exhiber fièrement leurs jouets «Home made» pleins d’ingéniosité.

I will take advantage when seeing a pharmacy to buy a treatment against schistosomiasis. Lake Malawi is deemed to contain the parasite, everyone advises to treat contamination when one is immersed. Simple: the number of pills that must be swallowed engages between the fourth and sixth week after the last swim and is determined by weight.

Here in Malawi, this treatment is reallycheap: I’ll have only two treatments snuffed USD and all other parasites that cannot be nabbed. Knowing that the same treatment can reach 50 USD in other countries!

A good local pub, full of honey and I am on the road to Livingstone a beautiful gravel track along the mountain.

In each village, children flock to share a few laughs and grimaces in the banana fields, or to proudly display their toys « Homemade » full of ingenuity.


Khondowe est le nom d’un petit village perché dans la montagne.

Après avoir abandonné différents autres sites du Malawi à cause de la forte présence de moustiques, c’est l’endroit qu’avait choisi en 1894 le Dr Robert Laws, missionnaire Ecossais catholique venu pour évangéliser les populations et leur venir en aide en éradiquant l’esclavage.

Il baptisera cette mission Livingstonia en hommage au Dr Livingstone et y construira écoles, hôpital et église.

Actuellement on peut visiter un petit musée dans l’ancienne maison du Dr Laws : «The Stone House».

Par contre, faut pas trop écouter le guide qui n’a pas encore tout compris !

Stone house n’est pas la maison où a habité Livingstone…

« What ? Where lived Stone ??? »

C’est juste une maison en pierre !

Le missionnaire Robert Laws étant arrivé ici en 1894 et Livingstone étant mort en 1873 : ch’est po possible heinnnn !

« Yes yes ! Livingstone house! »

Grrrrr !

Je resterai cinq jours dans un petit camping, la tente plantée à 3 mètres d’un versant de montagne avec une vue splendide sur le Lac Malawi.

Livingtonia étant perchée à 1300 m d’altitude, alors que le Lac est lui-même à 500 m,  les balades à pied dans ce secteur offrent des vues panoramiques vertigineuses.

Khondowe is the name of a small village perched in the mountains.

After dropping several other sites in Malawi because of the strong presence of mosquitoes, this is the place that was chosen in 1894 Dr Robert Laws, Scottish Catholic missionary came to evangelize the people and assist them in eradicating the slavery.

He will baptize this Livingstone Mission in honour of Dr Livingstone will build schools, hospital and a church.

Currently you can visit a small museum in the former home of Dr Laws: « The Stone House ».

By cons, do not listen to the one guide that has not all inclusive!

Stone house is not the house whereLivingstone lived

« What? Where lived Livingstone?? »

It is just a stone house!

The missionary Robert Laws having arrived here in 1894 and Livingstone had died in 1873 , now how the hell is that possible?

« Yes yes! Livingstone house! « 

Grrrrr!

I will stay five days in a small campsite,the tent pitched to 3 metres from a mountain slope with a beautiful view of Lake Malawi.

Livingtone is perched at an altitude of 1300 m, while the Lake itself is 500 m, the walks in the area offer breath-taking panoramic views.

La moto à l’abri au camping, je chausserai mes baskets et marcherai tous les jours : ici c’est le paradis des randonneurs.

Une balade aux chutes, la visite de la mission et de ses magnifiques constructions et la rencontre avec un apiculteur local heureux de me montrer «The local process» : Garanti 100% Bio !

The bike away at the campsite, I searched for my sneakers and walk every day here is a paradise for hikers.

A walk to the falls, visiting the mission and its beautiful buildings and meeting with a local beekeeper happy to show me « The local process » Guaranteed 100% Organic!

C’est pas de tout ça, mon visa malawien se termine : direction Tanzanie !

Si le site de Livingstonia à été choisi pour l’absence de moustique, les scorpions eux sont là. En déplantant ma tente, j’aurai l’occasion d’en trouver un qui s’était logé dessous : et cet enfoiré qui faisait le mort était bel et bien vivant !

It’s not all that, my visa ends for Malawi: so now towards Tanzania!

If the site Livingstone was chosen for the absence of mosquitoes, scorpions they are there. So I moved my tent, I will be able to find one that had housed below: and the bastard who I thought was dead was alive and well!

La descente côté nord de Livingstonia est réputée pour être l’une des plus abruptes et spectaculaires d’Afrique. Je dirais que c’est quand même moins pire que la Sani Pass au Lesotho ! Pfff !

Passage frontière Tanzanie : Relativement rapide.

Là où ça se gâte, c’est une fois arrivé en Tanzanie et concernant mon assurance moto.

Des gars me mettent en garde quant aux contrôles police et me conseillent de m’en procurer une après la barrière. Jusque là c’est comme d’hab.

Dans un petit bureau deux types patibulaires veulent me vendre une assurance tanzanienne sur 3 mois (minimum possible) pour un montant de 90000 Tsh (Shilling Tanzanien) soit environ 50 €.

Ayant compris depuis le temps que tout se négocie en Afrique, j’entame les palabres pour essayer de baisser le tarif. Du coup un des gars sort d’un cahier un autre certificat d’assurance à remplir. Une autre enseigne couvrant toute l’Afrique de l’Est jusqu’en Egypte.

Je rentre dans le jeu. A mon étonnement le tarif baisse considérablement et après avoir rempli le certificat, le gars ajoute que pour cette enseigne en revanche aucune facture ne me sera donnée. Je réalise que ce papier, malgré qu’il soit vrai et estampillé comme les billets de banque en encre argentée est certainement «tombé du camion» et que n’ayant aucune possibilité de m’enregistrer au niveau de la compagnie, ce justificatif d’assurance est certes moins cher et plus pratique quant à ma remontée mais… que je ne serai pas assuré…

Je reviens donc sur ma décision et opte pour le premier contrat, mais forcément ça les arrange pas : le formulaire est maintenant rempli au stylo. Le tarif redescend par magie sans que j’aie rien à demander.

Démasqué, un des types me fait carrément comprendre que, certes, je ne serai pas assuré mais que concernant les contrôles police : ça sera «no problem Boss !».

Je décide donc de prendre le risque d’aller jusqu’à Dar Es Salaam sans assurance, pour y chercher une «vraie» agence. Le type très calmement me montre un poster que je n’avais pas remarqué au mur derrière moi, et me laissera tranquillement prendre une photo en insinuant qu’il n’aime pas trop les français.

No comment !

The descent north side of Livingstone is reputed to be one of the most rugged and spectacular in Africa. I’d say it’s still not as bad as the Sani Pass in Lesotho! Pfff!

Border crossing Tanzania: Relatively fast.

Where it goes bad, it’s happened once in Tanzania and on my motorcycle insurance.

Guys are warning me about the front controls and advise me to get one after the barrier. Until then it is as usual.

In a small office two sinister guys want to sell me a Tanzanian insurance for 3 months (minimum possible) for a total of
90,000 Tsh (Tanzanian Shilling) about 50 €.

Having understood from the time that everything is negotiable in Africa, I began the palaver to try to lower theprice. So one of the guys out an insurance to meet specifications anothercertificate. Another sign covering the entire East Africa to Egypt.

I go into the game to my surprise the pricedrops considerably and after completing the certificate, the guy says that for this brand however no invoice will be given to me. I realize that this paper,although it is true and stamped as banknotes in silver ink has certainly »fallen off the truck » and having no possibility to register at thecompany level, the proof of Insurance is certainly less expensive and morepractical about my recovery … but I will not be sure…

So I go back on my decision and opted forthe first contract, but not necessarily that the arrangements: the form is nowfilled pen. The price goes down by magic with nothing to ask.

Unmasked, a type made me downright understand that while I will not be sure but on Police checks: it will be « no problem Boss! ».

I decided to take the risk of going to Dar Es Salaam without insurance, to seek a « real » office. The type very quietly showed me a poster that I had not noticed on the wall behind me, and let me take a picture quietly insinuating that they do not like the French.

No comment!

J’esquiverai l’affaire en lâchant 5000 Tch soit e 2,5 € pour m’arracher de ce guet apens sans qu’il perde la face devant les copains soudainement arrivés dans le bureau…

En dehors de la zone frontalière et de Dar Es Salaam, les locaux ne parlent pas anglais mais heureusement, l’accueil qui m’aura laissé un goût amer sera vite oublié avec les «Karibu» (bienvenue en Swahili) lancés par les tanzaniens souriants que je croiserai depuis.

Je prendrai donc mon temps pour rejoindre la capitale en alternant : une guest house locale où je passerai un bon moment avec des routiers qui ne comprendront pas ce qu’un touriste fait là dedans, un super camping sur le bord d’une rivière à la sortie d’Iringa où je rencontrerai deux Sud Af bien sympas et Sib, un papy qui a descendu toute l’Afrique de l’Est en 2008 sur un Vespa !, et enfin un campement en brousse juste avant de traverser le Park de Mikumi.

I manage the case by releasing 5000 Tch or € 2.5 to snatch me from this lookout ambush without losing face in front of friends suddenly arrived in the office…

Outside the border area in Dar Es Salaam, the locals do not speak English, but fortunately, the reception has left a bitter taste will soon be forgotten with « Karibu » (welcome in Swahili) launched by the smiling Tanzanian that I encounter since.

So I take my time to reach the capital alternating: a local guest house where I spend a good time with the road that does not include a tourist is in there, great camping on the river to output Iringa where I meet two South Africans well nice and Bb, a grandpa who camedown all East Africa in 2008 on a Vespa!, and finally a camp in the bush just before crossing the Mikumi Park.

Jusqu’au park, les journées sont chaudes mais il fait vraiment très froid durant les nuits (parfois moins de 6 degrés)

To park, the days are warm but it is really cold during the night (sometimes less than 6 degrees)

La route : un magnifique goudron mais comme d’hab. c’est encore là-dessus qu’il faut redoubler de prudence ! Des camions, des petits bus et autres véhicules se sont passé le mot pour rouler à tombeau ouvert et déboiter sans prévenir !

L’arrivée à Dar Es Salaam qui veut dire «Havre de Paix» en arabe, se passe comme dans la plupart des capitales en Afrique : un bouchon plutôt infernal que paisible dans un vacarme et une poussière terrifiants.

A Vandelbijpark, Jerôme, un ami d’Isa et Oliv, m’avait donné les coordonnées de Benoit, un motard habitant ici. Je l’avais appelé depuis le Malawi pour anticiper sur un nouveau changement de pneus et celui-ci m’avait donné le contact de Denis, belge né au Kenya, chef mécano depuis deux ans dans le nouveau garage KTM et proposant des pneus de bonnes dimensions.

Mais arrivant un vendredi soir, il me faut trouver un coin pour passer le week-end avant de m’y rendre.

Le patron du camping de Livingstonia m’avait indiqué l’endroit le moins cher pour loger à Dar. Le YMCA (Young Men’s Christian Association). J’suis sûr que tout le monde est en train de chanter un succès des Village People ! Mais cet établissement marque complet et franchement, la nonchalance et le mauvais accueil à la réception ne m’ont pas vraiment donné envie d’y rester.

Un coup de fil à Benoit pour lui demander conseil, et me voilà parti de l’autre côté de la baie en traversant sur une barge bondée : une bonne tranche de rigolade avec les passagers. J’y resterai trois nuits, dans un camping. Et ici  même les nuits sont chaudes !

Road: a beautiful tar but as usual. Still on it must be extra careful! Trucks, small buses and other vehicles have passed the word to roll at breakneck speed and uncouple without warning!

The arrival in Dar Es Salaam, which means « Haven of Peace » in Arabic, as happens in most capitals in Africa: a rather quiet in that infernal racket and terrifying dust cap.

A Vanderbijlpark, Jerome, a friend of Isa Oliv, gave me details of Benoit, a biker living here. I called from Malawi to anticipate a new tyre change and he gave me the contact Denis, a Belgian born in Kenya, chief mechanic for two years in the new garage KTM and offering good tyre dimensions.

But arriving on a Friday night, I need to find a place to spend the weekend before I get there.

The owner of the campsite Livingstone had told me the cheapest place to stay in Dar. The YMCA (Young Men’s Christian
Association). I’m sure everyone is singing a hit Village People! But hotel brand full and frankly, the nonchalance and poor service at reception did not really make me want to stay there.

A call to Benoit for advice, and I was offon the other side of the bay through a crowded barge: a good laugh with passengers. I will stay three nights at a campsite. And here the nights are hot!

Le lundi matin suivant, je vais donc voir Denis au garage KTM.

En plus d’y changer mes pneus, Denis me laissera faire une vidange et un réglage du jeu de soupapes.

The following Monday morning, I’ll see Denis KTM in the garage.

Apart from changing my tyres, Denis lets me do an oil change and adjustment of valve clearance.

Depuis quelques mois, je réfléchis un peu à mon itinéraire retour. Pour m’aider à élaborer un plan, je tiens compte de la saison des pluies à venir sur l’est africain. Si je ne veux pas me la payer en Ethiopie où les routes sont réputées difficiles, et profiter un peu de l’été nordique pour ma remontée Européenne, l’idéal serait d’attendre deux ou trois mois avant de prendre la route vers le Nord.

Deux ou trois mois ?? Et si je me faisais un trip sur les îles ? Comores, Mayotte, Madagascar ?? En plus c’est la meilleure saison là-bas durant les mois prochains : pas trop chaud et sec !

Il me faut donc organiser les trajets en bateau et essayer d’établir un budget.

Tout ça va me prendre du temps et Denis me propose de m’héberger le temps des recherches ! Elle est pas belle la vie ?

Très bon accueil donc chez Denis, son épouse Susie et la petite Maya.

Sur le port de Dar Es Salaam il y a un tas de petites agences qui vendent des trajets ferry jusque Zanzibar et les Comores, mais très cher avec la moto et rien pour Mada. Je passerai une journée à faire le tour des compagnies de cargo mais ils ne veulent pas prendre de passagers et demandent de mettre la moto en caisse : très cher aussi.

Entre les Comores et Mada, David, un ami d’origine comorienne installé à Lille me donne les infos : aucun problème, trois ferries par semaine.

Je fais mes calculs, cherche partout, mais les résultats ne sont pas encourageants. Ce n’est vraiment pas un budget raisonnable.

La journée, je vais stationner la moto devant un grand hôtel casino : en donnant un billet aux gardiens, ils veillent sur elle et je pars à pied en ville et au port. Je rencontre un italien installé ici depuis 5  ans et il me parle de la société française de transport «Bolloré» qui se trouve à la sortie de la ville. Là-bas, je rencontrerai Jean-Marie un Français. Il a de bons contacts au port qui conseillent d’aller à Zanzibar pour prendre un bateau pour les Comores. Mais finalement rien de concret. Je commençais donc à baisser les bras quand, je rencontre un client du garage où travaille Denis.

Jean-François a aussi des contacts au port, et me propose de m’y emmener pour rencontrer directement le Capitaine d’un bateau partant le mardi suivant pour les Comores. Après quelques palabres et négociations à la barrière, on arrive à approcher le bateau et à discuter avec le bras droit du Capitaine.

Après 10 minutes, j’obtiens l’autorisation de voyager avec eux mardi. Tarif aller-retour avec la moto et la tambouille durant les trois jours de mer jusqu’aux Comores plus de deux fois moins cher que l’aller simple avec les agences qui ne prévoyaient pas la nourriture ! Cela dit le bateau en question ressemble à un mini cargo qui a tout l’air d’avoir 500 ans. Une poignée de main et rendez vous lundi après midi pour voir les dockers qui chargeront la moto sur l’embarcation.

J’aurai l’occasion d’aller faire un tour sur Zanzibar à mon retour en laissant la moto chez Denis.

Donc le programme : départ mardi pour les Comores où je ne resterai que quelques jours, ferry jusque Mada dont je compte faire le tour sur deux mois environ, de nouveau les Comores pour m’y balader quelques jours, et retour à Dar Es Salaam.

Allez : bon vent !

In recent months, I think a little to my return route. To help me develop a plan, I am thoughtful of the rainy season coming to East Africa. If I do not want to pay in Ethiopia where the roads are notoriously difficult, and enjoy a bit of summer for my northern European recovery, the ideal would be to wait two or three months before taking the road to the North .

Two or three months? And what if I were to take a trip to the islands? Comores, Mayotte, Madagascar? In addition it is the best season there in the coming months: not too hot and dry!

So I have to organize boat trips and try to establish a budget.

All it will take me some time and Denis offers to host me the time researching! He’s not life grand?

Therefore very welcomed at Denis, his wife Susie and little Maya.

In the port of Dar Es Salaam there are a lot of small agencies that sell ferry trips up Zanzibar and the Comores, but very expensive with the bike and nothing to Mada. I will take one day tour the cargo companies but they do not want to take passengers to and ask for the bike box: very expensive too.

Between the Comores and Madagascar, David, a friend of Comorian origin settled in Lille gives me information: no problem,
three ferries a week.

I do my calculations, looking everywhere, but the results are not encouraging. This is really not a reasonable budget.

The day I parked the bike in front of a grand hotel casino: giving a ticket to the guards, they watch for it and I’m going to walk into town and the harbour. I met an Italian settled here for 5 years and he tells me the French transport company ‘Bolloré’ which is out of the city. There, I meet a French Jean-Marie. He has good contacts at the port who advise to go to Zanzibar to take a boat to the Comores. But ultimately nothing concrete. I began to give up when I meet a client of the garage where Denis works.

Jean-François also has contacts in port and offers to take me to meet directly with the Captain of a ship sailing on the following
Tuesday for the Comores. After some talking and negotiations at the gate, we come closer to the boat and talk to the right arm of the captain.

After 10 minutes, I get permission to travel with them Tuesday. Return fare with the bike and grub during the three days of sea to the Comores, two times cheaper than one way with the agencies that did not provide the food! It said the vessel in question looks like a mini cargo which all seem to have 500 years. A handshake and appointment Monday afternoon to see the dockworkers charge the bike on the boat.

I have the opportunity to go for a ride on my return to Zanzibar leaving the bike at Denis

So the program starting Tuesday for the Comores, where I will stay a few days, until Mada ferry which I intend to turn about two months back Comoros me to wander a few days and back to Dar Es Salaam.

Go to: good luck!

17 réponses à Du Malawi à Dar Es Salaam

  • Bleuze dit :

    Merci pour le partage de ces aventures… Qui nous apporte un vrai rayon de soleil à chaque lecture.

  • François dit :

    Dis donc, le calendrier 2013, tu aurais pu le prendre en souvenir !! Jamais vu les 3 têtes en même temps ! Tu as eu raison de ne pas trop t’éterniser car avec un calendrier comme ça pour eux c’est plus une commémoration souvenir que pour nous les calendriers Pirelli !!!
    Et à propos de Livingstone, tu te rases la barbe et laisse la moustache, ya un air de famille ! Livingstone is back !!!
    Good luc at Zanzibar, boy !!
    Bises
    François

  • domy dit :

    C’est trop beau cette aventure que tu t’offres, ça donne envie de te rejoindre.
    Et montre nous la prochaine fois comme tu es bronzé, ici on se gèle, le temps déraille.

    Je t’embrasse.
    Domy

  • laulo dit :

    bon alors, ici après une longue méditation, on (oui on! car je n’étais point seule avec toutes les voix dans ma tête sur ce coup !!!) a compris un paramètre important du dérèglement climatique que l’on est en train de subir . Je t’explique:
    1ere etape
    tu as annoncé ton retour pour l’été, puis ton périple s’est prolongé,, au détour des sentiers non baliséstu as décidé de prendre les chemins de travers(é)e pour rentrer
    2e étape
    monsieur météo ne voulant pas te faire mentir , a décidé de reculer l’arrivée de ce fameux été ou tu rentrerais et de prolonger l’hiver, puis l’automne, puis le printemps, puis l’automne, (oui là c’est dans le bon ordre) tout en intercalant pour ne pas faire trop baisser notre vitamine D une journée ensoleillée… Bref le temps est détraqué, le soleil a décidé de ne point se montrer ici dans le grand nord afin de ne point te faire mentir sur ton retour.
    3e étape
    et là tu nous apprends que va falloir compter encore deux mois minimum (parce qu’après y encore des étapes relais dans l’histoire) avant qu’on soit en été, à ce rythme là on va prendre la place de l’Australie et on fêtera noel en bermuda et en suant à grosse gouttes , non pas parce qu’on sera enfermés dans un sauna mais parce que tu seras (peut-être) rentré et du coup l’été sera enfin arrivé (tout ceci afin , je te le rappelle de ne pas te faire mentir)

    à ce rythme là je n’ose même po imaginer l’étape 4 voire 5 6 7 8 9 10…

    Bon sinon tes photos sont toujours aussi jolies et contente que tu te sois encore fait des amis chez les animaux rigolos (cf scorpion) et cette fois-ci fais gaffe qu’il ne se prenne pas d’affection pour toi et n’élise domicile lui aussi dans ton casque.
    Bon les abeilles çà on a aussi ici tu sais !

    Ah oui j’ai failli oublier, les expériences à l’eau de mer et jus de citron à part dans les légendes urbaines, les contes africains çà ne marche pas et en plus çà pique un max ! (ouais comme les bonbons qui piquent !) ;)

    allez j’tente quand même… on y croit !!! à bientôt dans ch’Nord !

    Bizoux

  • Salut,

    merci pour ce partage et bravo pour le coup de maître pour aller faire un tour dans les îles surotut Mada.
    Bon voyage.

  • Pascal & Christine ROTHER dit :

    Salut Luc!
    Bon décidément tu as l’art de « brouiller » les cartes (les cartes routières) ! Te voilà embarqué sur un vieux rafiot pour le tour de Madagascar… Imprévisible le gars !
    Merci pour tes récits et tes aventures teintés d’humour.
    Tout le monde est avec toi et t’encourage très fort.
    Bonne chance et bonne mer surtout.

  • vittorio gerosa dit :

    Luc, quand tu passes par l’Ethiopie tu dois absolument contacter un ami à moi à Addis Ababa, un vrai motard qui peut t’aider avec la moto, connaître des endroits, etc.
    contact moi quand il arrive le bon moment.
    merci pour tes magnifiques photos: tu me fais rever.
    v

  • bougette emmanuel dit :

    Salut Luc
    très bonne idée que de faire un crochet par mada. tu vas te régaler a moto. très beaux paysages et plages magnifiques sur la cote ouest d’ifaty a nosy be et ça parle francais. je te conseille de faire un tour sous l’eau pour y découvrir la richesse subaquatique . ne pas oublier zanzibar en remontant car c’est un endroit unique de beauté …. et en plus tu roules a gauche. ca me rappelle un périple que j’y ai fait en 500 XT il y a quelques années …
    bonne route et a bientot

  • jean noel dit :

    slut luc
    merci de partager avec nous tout ces merveilles que la nature offre.bon voyage et surtout prend bien soin de toi.

  • renard dit :

    Bonne idée ce grand détour par Mada. Après tout, c’est un petit morceau d’Afrique qui a dérivé. Tu seras saisi par la gentillesse des populations, surtout en campagne et les anciens parlent encore le français. Si tu vas le plus au sud possible, là où les tombeaux des ancêtres et les tortues se montrent, tu risques d’arriver au cap St Marie où le phare est fonctionnel et datant de l’époque coloniale française. Soit cependant vigilant : le palu, la piste, le sida et quelques arnaqueurs en perdition. Bon trip à toi et gardes ce magnifique regard sur ce qui t’entoure. Tchao viva …

  • David dit :

    J’aime bien l’épisode de l’assurance, avec le coup du poster. Tu t’en es bien sorti !

  • pineau (loulou) dit :

    salut bmw ta toujours pas envie de rentré a la maison tu profite et ta bien raison
    avec le soleil et tous ce qui se suit en plus tu laisse ta bmw chez ktm enfin tu va te
    decider a changer de moto lol bon bon courage a toi ont t embrasse tous a dunkerque a plus

  • Yovo dit :

    Courage mon ami, continue la route, Dieu est devant toi.
    Merci

  • Éliane Vallée dit :

    Luuuuuuuuuuuuuc !

    Merci de partager tes aventures et tes photos, toujours un plaisir de te lire ! I’m still jealous ! :D

    A bientôt, inchalah ! La p’tite Québécoise xx

  • STEF DEVISSCH dit :

    Dis donc l’ami… les scorpions ont été cool avec toi et ça ne m’étonne pas;
    profite bien de ton détour dans les iles comme dit Manu.
    Be Cool mec;;;
    Encore de belles images que tu nous envoies.
    a bientôt
    stef

  • d'ARTAGNAN dit :

    bon ….
    salut Luc
    putainnnnnn mec tu nous fouts les boules graves mec !!!! ( rire )
    Super la poursuite de ton voyage.
    Super également ton changement de direction …. t’as bien raison, d’aller à Mada, plutot que d’aller t’embourber sur les pistes Ethiopiennes.
    Mada … certainement notre prochain périple l’année prochaine.
    Je suis d’accord avec toi, le hasard des rencontres a parfois du bon …. la preuve .. un bateau pour toi.
    bon vent … largues les amarts ( ca s’écrit comme ca ? ) et vogue vers Mada via les Commores
    bizzzzzzzzzzzzz
    d’Artagnan

  • CATHY dit :

    Waouh !!! quelle patience !!! que de déboires !!! bonne continuation…
    biz
    ps : A Dunkerque c’est la saison des pluies…

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