Ghana : No coaltar here !

Voilà, nous sommes lundi 28 mai et je quitte le Burkina.

Au revoir Housman !

Today it is Monday, May 28th and I’m leavingBurkina Faso.

Housman goodbye!

La route jusqu’à la frontière est cool : du goudron tout du long

Une petite pause en pleine campagne pour manger ma boîte de sardines à l’ombre d’un Baobab. Une vieille femme qui m’avait aperçu de sa case est arrivée jusqu’à moi, à vélo, pour me proposer de venir boire un peu d’eau : vraiment y sont sympas les burkinabés !

J’arrive à la frontière : à partir d’ici I must speak English …

The road to the border is cool: tar all along the way!

A short break in the countryside, where I ate my sardines under a Baobab tree. An old woman who had insight into her box
came up to me, bike, coming to offer me a drink of water: there really are nice people inBurkina Faso!

I get to the border, and from here I have to start speaking English…

Le douanier burkinabé m’annonce que j’ai oublié de rendre le talon de mon laissez-passer pour la moto dans la ville 15 kms avant la frontière (comment je pouvais savoir ça moi ???)

Bon finalement il me dit qu’il ira pour moi, et ne me demande même pas une pièce …

Arrivé au poste de police, ils me demandent mon adresse au Ghana. Après quelques longues minutes pour réussir à expliquer que je traverse le pays et que je n’ai pas d’adresse à donner, ne sachant pas moi-même où seront mes escales, ils me laissent passer en rigolant.

La douane du Ghana accepte le CPD et ils sont super sympas.

Je m’en sors en tout pour à peine une heure à passer la frontière.

A peine passé, plus de goudron : une piste effroyable pleine de cratères et de pierres. Je m’arrête à une station essence et là premier problème.

Mon réservoir faisant 41 litres et ayant encore au moins 8 litres car mon voyant n’est pas allumé, ils ne peuvent avoir mis 39 litres d’essence comme ils prétendent !

Petite prise de tête avec le pompiste malhonnête et je déclare forfait en me disant que le Ghana, ça va pas être la même …

J’arrive dans un petit village et je demande à un type si, et où, je peux planter ma tente. Il me conseille de continuer sur 5 kms jusqu’à la petite ville de Babeli.

Là-bas je suis super bien accueilli. Les gens n’ont jamais vu un toubab français arriver au Ghana en moto !

Le maire du village me propose de planter ma tente derrière un petit bâtiment de la commune. Beaucoup de gens viennent voir et veulent échanger les contacts.

The customs at Burkina told me that I forgot to arrange the pass and visa for my bike in the City that is 15 km away. (How was I
supposed to know that)

Well finally he told me he will go for me, and I do not even ask for a room…

Arrived at the police station, they asked me for my address in Ghana. After a few long minutes I successfully explained that I crossed the country and I have no address to give them, not knowing myself where I will stop, they let me pass with a laugh.

Ghana Customs accepts the CPD and they are very friendly.

It only took an hour to cross the border.

Just past more tar: a terrible track full of craters and rocks. I stopped at a gas station and there came the first problem.

My tank takes 41 litres, but I only have 8 litres. Here the guy said he could put 39 litres, but I had a small headlock with the
attendant, thinking that it won’t be the same!

I arrived in a small village and I asked a guy if and where I can pitch my tent. He advises me to continue for5 km to the small town ofBabeli.

There I am very well received. People have never seen a white Frenchman arrive inGhana on a bike!

The village mayor offered me a place to pitch my tent behind a small building in the town. Many people came to see and
want to exchange contacts.

 

Pendant la nuit, un orage terrible ! La tente tient le coup sans problème malgré les 10 cm d’eau autour. Seulement le sol de la latérite dure comme de la pierre, dans laquelle j’avais eu du mal à planter les sardines, se transforme en boue et la béquille de la moto, que j’avais stationnée juste à côté de la tente, s’enfonce !

Résultat : vrac ! Une moto sur la gueule !

Leçon N°1 : ne jamais garer la moto trop près de la tente pendant la saison des pluies en Afrique. Bon ça va, même pas mal : je m’en sors bien et la tente aussi … C’est le métier qui rentre….

Le lendemain, le maire viendra me demander mon mail et me proposera même un peu d’argent pour contribuer à mes frais d’essence !!!

Je refuse en me disant que les ghanéens sont vraiment super sympas aussi, et qu’il ne faut pas généraliser à la première impression.

Je reprends la route en direction de Wa. J’ai envie de faire une traversée en bateau sur la Volta et ne tiens pas à aller à Accra, la capitale, puisque j’ai déjà mon Visa pour le Togo.

Là-bas j’ai un souci avec ma carte bancaire qui ne fonctionne pas, et les banques refusent de changer mon dernier billet en dollar. Sur le parking de la Poste, où le gardien se propose de surveiller la moto, un jeune m’emmène sur son scooter et fini par me solutionner le problème. Je reprends la route.

During the night, a terrible storm! The tent holds up without problem despite the 10cm of water. Only laterite soil as hard as stone, in which I struggled as it turns into mud and the stand of the bike, I had parked next to the tent, it was sinking!

Result: bulk! A motorcycle stuck!

Lesson # 1: Never park the bike too close to the tent during the rainy season in Africa. Well okay, not bad, I’m doing fine.

The next day, the mayor asked for my mail address and even offered me some money to help my fuel costs!

I refused, saying that Ghanaians are really very nice too, and should not be generalized from the first impression.

I got on the road towards Wa. I want to take a boat ride on the Volta and do not want to go to Accra, the capital, since I already have my visa forTogo.

There, I have a problem with my credit card it does not work, and banks refuse to change my last dollars. The parking lot of the Post Office, where the guardian intends to monitor the bike, a teenager takes me on his scooter and ended up solving the problem. Back on the road.

Après une bonne plâtrée de riz à Bole je continue, et juste après le pont sur la Black Volta, je bifurque à gauche sur de toutes petites pistes en direction de Kintampo.

J’y arrive vers 16H. Le ciel devient vraiment menaçant mais il est trop tôt pour m’arrêter alors je continue à nouveau.

Leçon N°2 : Quand le ciel menace en Afrique pendant la saison des pluies : vite chercher un abri.

J’essayerai bien de m’abriter sous une forêt de teck, mais sans succès : Suis trempé jusqu’aux os (même pas eu le temps de sortir la combinaison de pluie …)

After a good bowl of rice I continued, and just after the bridge on the Black Volta, I turned left on very small slopes towards Kintampo.

I arrived at 16h, the sky becomes threatening, but it is really too early to stop driving so I continued.

Lesson # 2: When the sky threatensAfricaduring the rainy season seek shelter QUICKLY.

Well I’ll try to find shelter in a teak forest, but without success: I’m soaking wet (no time to even get out the rainsuit…)

Une heure après, c’est fini, ciel bleu … J’arrive dans le tout petit village de Ofrio Krom et je demande à nouveau si je peux planter ma tente.

Après être restés 5 minutes bouche bée devant un toubab en moto et couvert de boue, les villageois ont une réaction impressionnante !

Tout le monde courait dans tous les sens pour s’occuper de mon confort.

Ils se sont organisés en 10 mn pour vider une case, y installer une moustiquaire, m’ont  demandé d’aller y mettre mes vêtements secs. A peine sorti, mes fringues mouillées m’étaient arrachées des mains pour être lavées. Les gamins ont couru dans les arbres pour me cueillir des oranges, ils m’ont préparé un délicieux plat de manioc à la tomate. Quelqu’un est même descendu au village pour y chercher du chocolat. On m’a offert un bol de chocolat chaud en pleine brousse en plein cœur du Ghana !

An hour later, it’s over, blue sky… I arrived in the tiny village  of Ofrio Krom and asked again if I can pitch my tent.

After 5 minutes remained speechless before a white man on a motorbike and covered in mud, Their  reaction… impressive!

Everybody ran in all directions to find me some comfort.

They are organized in 10 minutes, they emptied a garage, installed a net, asked me to put my clothes out to dry. The kids ran into the trees for me to pick oranges, they prepared me a delicious meal of cassava and tomato. Someone even went down to the village to look for chocolate. I was offered a cup of hot chocolate in the bush in the heart ofGhana!

Après une superbe nuit et un bon petit déj. (manioc au chocolat… Si si), j’ai bien cru que j’allais chialer en partant avec tous les villageois qui criaient derrière moi !

After a great night and a hearty breakfast, (Cassava chocolate … If so), I thought I was going to cry, starting with all the villagers shouting behind me!

Mon pneu arrière ne tient plus la pression. Il fuit de partout et je dois le regonfler toutes les 3 heures.

La piste est très grasse et je roule pénard.

My rear tyre has no pressure. It leaks everywhere and I have to inflate it every 3 hours.

The track is very oily and I ride slowly.

J’arrive à Yeji où je comptais prendre le bac pour traverser la Volta. Il est midi et la grille qui conduit à l’embarcadère est fermée. Je décide d’aller manger un morceau avant de revenir et un type dans un resto me dit qu’il y a encore 2 départs de ferry cet après midi : no stress.

Seulement voilà, après avoir mangé tranquillement et être revenu au ponton à 13H30, je vois le dernier ferry partir sous mon nez. Faut attendre demain matin qu’ils me disent !

Un peu en colère je retourne au resto pour négocier un endroit pour planter la tente. J’y rencontre Copi, un jeune de la ville, mécano moto, et nous parlons mécanique.

I get to Yeji where I planned to take the ferry to cross the Volta. It is noon and the grid which leads to the pier is closed. I decided to get a bite before returning and a guy in a restaurant told me that there are still two departures for this Ferry this afternoon: no stress.

Only now, after eating quietly and I had to be back at the dock at 13h30, I see the last ferry from under my nose. I was too late so I’ll have to wait until tomorrow morning they tell me!

A little angry, I go to a restaurant to negotiate a place to pitch the tent. Copi I meet a young in the city, motorcycle mechanic, all we do is mechanical and talk.

Il me propose de venir m’installer chez lui.

Enfin chez sa sœur chez qui il vit.

Ils habitent dans l’une des plus grandes maisons de la ville.

Un salon de 80 m², un écran géant de 2 mètres. La transition avec la veille est saisissante.

He offers me to stay with him. He lives at his sister’s place.

They live in one of the largest houses in the city. A living room of 80 m², a large screen of 2 metres. The transition to the standby is striking.

Là-bas je sors le fameux tour de magie de JJ, et après les avoir impressionnés, je leur demande s’il y a encore des sorciers vaudous au Ghana, comme j’en avais entendu parler.

Oui oui, y en a même un à 500 m d’ici : ça te tente d’aller le voir ?

Je me dégonfle pas et nous y partons. Encore une fois un orage menace. Le ciel devient noir à l’horizon. Ici, l’expression « le ciel vous tombe sur la tête » est réelle. Un décor apocalyptique !

I got there the famous magic trick JJ, and after impressed, I asked them if there are still voodoo sorcerers in Ghana, as I had heard.

Yes, yes, there is even one who is 500m away: it tempts you to go and see?

We leave again in a storm. The sky turns black on the horizon. Here, the phrase « the sky is falling on my head » is real. Apocalyptic scenery!

Arrivé chez le sorcier, celui-ci me dit qu’il savait que j’arrivais et qu’il m’attendait… Facile !

Pour entrer chez lui : obligation d’être pieds et torse nus.

Des statues en bois de 1m de haut avec des couteaux plantés dans le crâne.

Des couteaux plantés partout (sur le sol des manches sortent de la dalle en béton)

Des poupées en chiffon avec des aiguilles un peu partout.

Je m’assois et il m’explique en 2 mots qu’il est guérisseur … (me montre même son diplôme)

Que je n’ai pas le droit de faire de photos sous peine de m’effondrer instantanément dans un coma profond…

15 mn après il me dit que comme je ne suis pas venu en consultation mais juste en curieux, je peux m’en aller : me ferai pas prier !

Un super gueuleton chez Copi, une bonne nuit sous ma tente sur la terrasse.

Le lendemain, je prendrai le premier ferry de 9h pour continuer vers Djébobo, dernière étape avant le Togo.

Arrived at the witchdoctor, he tells me he knew I was coming and he was waiting for me… Easy!

To join him it’s obligatory to be bare feet and without a shirt.

Wooden statues of 1m high with knives stuck in the skulls.

Knives planted everywhere (sleeves on the floor out of the concrete slab)

Rag dolls with needles everywhere. I sat down and he explained to me in 2 words … it is healing (even shows me his
diploma)

I do not have the right to take pictures of him in pain, instantly collapse into a coma…

15 minutes after he told me that as I am not coming for a consultation but just curious, I can go: I will not pray!

A super blowout with Copi, a good night in my tent on the terrace.

The next day I take the first ferry from 9 am to continue to Djébobo, last step beforeTogo.

 

Je suis pris d’un effrayant coup de pompe. Je fais une sieste à un poste de police en pleine brousse.

Je suis vraiment naze et comprends pas pourquoi…

Encore des averses mais je commence à m’organiser et à avoir le temps de m’abriter dans les villages.

I took a scary crack. I took a nap in a police station in the bush.

I’m really lame and not understand why…

Even showers but I’m starting to get organized and have time to find shelter in the villages.

A Djébobo, je trouve un petit hôtel et m’effondre de sommeil.

Le lendemain, j’ai la nausée : je couve quelque chose.

La route jusqu’au poste frontière du Togo est pénible : j’ai les yeux qui se ferment. Je n’ai pourtant pas pris de photo hier chez le sorcier …

Arrivé à la douane togolaise, je n’arrive même pas à monter les 6 marches et je m’écroule à moitié dans un coin.

Je dormirai 3 heures !

Il est 15h et je dois me relever pour franchir le no man’s land de 500 m jusqu’à la douane du Togo. Un vrai calvaire.

Je commence à penser au palu …

J’ai effectivement décidé il y a 2 mois de ne pas prendre mon traitement préventif, prendre pendant 7 mois des antibiotiques quotidiennement ça doit pas être vraiment bon…

Ma fatigue dépasse tout ce que j’ai pu connaitre !

Depuis mon entrée au Ghana, à chaque fois que je demande ma route, les gens me montrent la direction en me précisant : « Be Careful, ride slow slow because no coaltar »

Le Ghana ça aura été juste 5 jours mais intenses, et cette fois-ci j’y suis dans le coaltar !

A Djébobo, I found a small hotel and I collapsed asleep.

The next day, I’m nauseous, I’m coming down with something.

The road to the border of Togois painful: my eyes that close. But I did not take a picture yesterday at the
witch doctor.

Came to the Togolese customs, I cannot even get the 6 steps and I fall down in a corner.

I sleep for 3 hours!

It is 15h and I must cross the no man’s land, 500 m to the customs of Togo which was a real ordeal!

I started thinking possibly malaria…

I actually decided two months ago to not take my preventive treatment, take antibiotics for 7 months every day, it should not be really good for you!

My fatigue is beyond anything, I felt it!

Since my arrival in Ghana, whenever I ask my way, people would show me the direction in stating: « Be Careful, ride slow Because there is no coal or tar »

Ghana it has been just 5 days, but intense, and this time I am in the coal tar !

 

20 réponses à Ghana : No coaltar here !

  • Jean-Claude Moeyensoon dit :

    Hello Lucio, t’as dû être marabouté, non ? A tel point que tu penses déjà être à la frontière angolaise (voir plus haut !) ;-) … Repose-toi. Bon courage et @+ – Jicé

  • pepone.marie dit :

    bonjour super mon grand et merci pour les commentaires et les photos a plus

  • Alain dit :

    Menage toi comme la moto, il te retste un bout de piste a faire

    courage et bonne route Alain

  • mohamed alain dit :

    salut gros lapin
    j espere que té guérite. beau voyage vue d ici. mais de quoi occuper ton temps. la moto tient le coup. t a pas changé de pneu?. on est tous avec toi. .. biz

  • pineau (loulou) dit :

    et bien chapeau ,je reste sans voix que de périple et du bonheur a la fois
    bon courage et tiens le coup nous sommes tous avec toi

  • Olivier et Isabelle Leblanc Vanderbijlpark South-Africa dit :

    Hi Luc ,
    Nous maintenant on sait, les marabouts on en a plein aussi ici. Si ça va pas, faut avoir du gros sel sur toi, ça guéri et ça chasse les mauvais esprits.
    As you mentionned previously, now English is mandatory. So I will carry on in English. We all wish you fell better. We are looking forward to host you in South-Africa. In July we will be back to France, mainly Dunkerque I think, but will be back home to Vanderbijlpark from last July week. Keep well and ride safe.
    Kind regards,
    Olivier Isabelle and Martin & Louis

  • Hello Luc

    Nous sommes content que ton voyage se déroule bien . Amitié de Keur Ndiaye Lô

  • becuwe edouard dit :

    j ai adore ton commantaire j espere que tu bien courage

  • Olive dit :

    HellO Luc, belle étape encore une fois. Je vois que t’apprecies l’attention des habitants envers un motard solitaire. C’est plus dur mais c’est plus fun que de passer 3 heures à tergiverser sur des parkings de stations service avec une bande de motards. run run run! Ciao’

  • Chantal dit :

    Passionnant ! j’adôôôre ! Aussi passionnant que la célèbre émission « J’irai dormir chez vous »

    Et les photos sont magnifiques…

    Be careful and good luck !

  • Wyts david dit :

    Excellente retranscription, quelle aventure. En cas de symptômes plus franc, toujours prendre sa température avant de prendre quoi que se soit, conseil de doc….

  • Mike dit :

    il ne te reste pas un peu d’hydromel pour te refaire une sante ??

    courage on est tous avec toi !!!

  • emmanuel l'auvergnat dit :

    salut luc
    je viens juste de comprendre que je pouvais suivre ton aventure en suivant le lien. decallage horaire…… lol . en tous cas je ne vais pas manquer de suivre ton parcour avec ses belles photos et tes commentaires. ca me permet de voyager et de m’evader de mon boulot.
    bises lapin et a bientot
    emmanuel

  • guy baltazar dit :

    trés intéressant

  • Mado dit :

    Hey! Take care Luc!?!How du you feel now?

  • Marc Théoullier dit :

    Merci Luc, ce récit était encore plus passionnant que les autres. prends soin de ta santé en espérant que le marabout ne t’ai pas lancé un sort… Si c’est le cas va voir un autre pour qu’il te le retire….
    Au plaisir de te lire…..

  • Las Auvergnats dit :

    Salut Fieu,
    C’est sûr, il t’a marabouté! A moins que t’ai fumé un truc bizarre! Bref, j’espère que tu vas te retaper rapide afin de continuer à nous régaler. As tu des besoins? Si on peut faire quelque chose ça sera avec plaisir. Goud luc, gros beko.

  • mansour dit :

    alr et man g apris k t avé la grippe mé tou va bien d apré lé tof mé dit u t eclates …….
    douda lolllllllllllllllllllllllllllllllllllllllllll

  • djiby dit :

    salut luc alors tout ce passe bien et du courage si je sais bien que tu es courageux sinon tu allais pas faire ce voyage. et les découverte se poursuivent, une ton ton retour au Sénégal tu parlera de mon continent porte bien a plus.

  • Les Verrièle dit :

    c’est sûr que le marabout a fait un coup de ses pattes!

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*

Vous pouvez utiliser ces balises et attributs HTML : <a href="" title=""> <abbr title=""> <acronym title=""> <b> <blockquote cite=""> <cite> <code> <del datetime=""> <em> <i> <q cite=""> <strike> <strong>